C’est avec une grille plus conventionnelle que les Essais Libres 2 du Grand Prix d’Abu Dhabi ont débuté. Les 10 rookies présents en EL1 ont rendu, probablement à contrecœur, le volant et le baquet aux pilotes titulaires.
Une nouvelle fois, c’est les pneus médiums qui ont été montés sur les monoplaces en ce début de séance. Auteur du meilleur temps lors de la première séance, George Russell a retrouvé cette position lors des premières minutes de roulage, suivi à moins d’une demi-seconde par Daniel Ricciardo.
Alors que les pilotes se plaignaient ce matin des bosses dans les virages 2-3, Carlos Sainz en a été la première victime. Le pilote de la Scuderia est allé encastrer sa Ferrari dans les Tecpro.
Beaucoup de dommages sur la SF-23 portant le numéro 55, une semaine à peine après avoir détruit son châssis à Las Vegas. La direction de course a demandé aux commissaires de piste d’agiter les drapeaux rouges, forçant les pilotes à rentrer aux stands. Un accident qui va peut-être coûter cher à la Scuderia Ferrari qui est à la lutte avec Mercedes pour le gain de la seconde place du Championnat du monde de F1. L’Espagnol ne pourra pas tester sa monoplace au soleil couchant, sous les mêmes conditions que la qualification et que la course.
Après de longues minutes d’interruption, la séance a repris avec seulement 24 minutes de roulage au compteur. George Russell détenait toujours le meilleur temps provisoire devant Ricciardo, Stroll, Magnussen et Verstappen.
Crash d’Hülkenberg et nouveau drapeau rouge
À peine relancée, la séance a une nouvelle fois été interrompue par un drapeau rouge. En effet, Nico Hülkenberg est allé heurter le mur au premier virage. Beaucoup de dégâts sur l’arrière de la Haas qui s’est immobilisée en piste.
La fin du drapeau rouge marquée par un nouveau… drapeau rouge 🚩
Visiblement impatient, Max Verstappen est allé doubler les deux Mercedes, par l’extérieur, dans le tunnel à la sortie des stands. On n’est pas passé loin d’un accrochage plus qu’inutile entre le triple Champion du monde et George Russell. Il ne restait alors qu’un petit quart d’heure de roulage aux pilotes afin de préparer la qualification et la course.
Charles Leclerc s’est rapidement placés aux avant-poste avec ses pneus tendres (1:24.809). Il devançait provisoirement Valtteri Bottas et Pierre Gasly. Par la suite, max Verstappen s’est plaint des mouvements de sa monoplace à son ingénieur. Selon le Batave elle sautait “comme un kangourou”.
Lando Norris s’est rapproché à moins d’un dixième du temps de Leclerc, alors que Lewis Hamilton se positionnait en cinquième position, à plus de cinq dixièmes du pilote monégasque. À deux minutes de l’agitation du drapeau à damier, Max Verstappen a pris la troisième place du classement à près de deux dixièmes du temps signé par le pilote Ferrari.
Le Champion du monde en titre a semble-t-il glissé dans le dernier secteur. Son voisin de garage a lui aussi tout perdu dans le dernier secteur, signant de fait le 16e temps. Sergio Pérez a finalement signé le cinquième temps final sur un ultime tour chrono.
Le classement F1 des EL2 du Grand Prix d’Abou Dhabi 2023
P
Pilote
Temps
Pneus
1
Charles Leclerc
1:24.809
S
2
Lando Norris
+ 0.043
S
3
Max Verstappen
+ 0.173
S
4
Valtteri Bottas
+ 0.215
S
5
Sergio Pérez
+ 0.303
S
6
George Russell
+ 0.313
S
7
Zhou Guanyu
+ 0.414
S
8
Lewis Hamilton
+ 0.506
S
9
Pierre Gasly
+ 0.512
S
10
Oscar Piastri
+ 0.552
S
11
Fernando Alonso
+ 0.588
S
12
Daniel Ricciardo
+ 0.658
S
13
Lance Stroll
+ 0.683
S
14
Esteban Ocon
+ 0.757
S
15
Yuki Tsunoda
+ 0.860
S
16
Alexander Albon
+ 1.272
S
17
Kevin Magnussen
+ 1.604
M
18
Logan Sargeant
+ 1.850
S
19
Carlos Sainz
+ 1.898
M
20
Nico Hülkenberg
+ 2.338
M
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Stefano Domenicali, PDG de la F1 et Nikolas Tombazis, directeur des monoplaces de la FIA, ont présidé cette Commission F1 qui avait comme principaux sujets de discussion : les courses sprint 2024, les essais de réduction du spray sous la pluie, les pneus, le refroidissement des pilotes ou encore le règlement 2026.
Format sprint 2024
Le format sprint va évoluer en 2024 afin de rationaliser davantage le week-end en séparant les activités du sprint de celles du Grand Prix. Le calendrier des courses sprint 2024 sera publié prochainement.
Réduction du spray sous la pluie
Un nouveau test aura lieu au printemps 2024 avec un design de garde-boue recouvrant totalement le pneu, ce qui permettra d’aider à définir l’orientation future du projet.
L’orientation du développement des futurs pneus doit être axée sur la réduction des problèmes de surchauffe et l’amélioration du comportement en course. Il a donc été décidé de conserver les couvertures chauffantes pour 2025.
Allocation des pneus
Suite au test d’une allocation de pneus réduite à deux reprises cette saison, avec des pneus obligatoires en Q1 (durs), Q2 (médiums) et Q3 (tendres), la Commission a finalement choisi de rester sur le format classique de 13 trains de pneus pour 2024.
Refroidissement des pilotes
Suite aux chaleurs rencontrées au Grand Prix du Qatar, la Commission a approuvé l’installation sur les voitures d’une écope destinée à améliorer le refroidissement du pilote.
Une analyse supplémentaire est en cours pour des options de refroidissement supplémentaires pour des conditions plus extrêmes.
La Commission a convenu qu’aucun travail ne peut être effectué sur le développement d’une voiture pour la saison 2026 (nouveau règlement) avant le début de l’année 2025.
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C’est une surprenante séance d’Essais Libres à laquelle nous allons assister. En effet, la moitié de la grille sera constituée de jeunes pilotes, remplaçant des pilotes titulaires. Pour la faire courte, Isack Hadjar et Jake Dennis roulent chez Red Bull, Frederik Vesti chez Mercedes, Robert Shwartzman chez Ferrari, Pato O’Ward chez McLaren, Felipe Drugovich chez Aston Martin, Jack Doohan chez Alpine, Oliver Bearman chez Haas, Théo Pourchaire chez Alfa Romeo et enfin Zak O`Sullivan chez Williams. La plupart de ces pilotes se sont élancés sur la piste de Yas Marina avec des monoplaces bardées de sondes Pitot.
Les pilotes sont sortis en piste avec des pneus Medium (bande jaune), alors que la température d’Abu Dhabi était bien plus importante que celle rencontrée la semaine dernière à Las Vegas.
Après vingt minutes de roulage, George Russell (1:26.313) menait les débats devant Yuki Tsunoda, Carlos Sainz Daniel Ricciardo et Logan Sargeant. Le premier rookie dans ce classement était O’ward (sixième).
Coup de chaud pour Dohann
S’il n’y a plus de suspense pour les titres pilotes et constructeurs, deux écuries vont toutefois se livrer une dernière bataille ici à Abu Dhabi. En effet, Mercedes va devoir protéger sa seconde place au classement des constructeurs face au retour de Ferrari. Les deux écuries sont séparées par quatre petites unités. Si la piste de Yas Marina est plus « typée » Mercedes, la Scuderia Ferrari fera tout son possible pour conserver son titre de vice-championne 2022.
Alors qu’il était sur un tour lancé, Jack Doohan (Alpine) s’est fait une belle frayeur lorsqu’il est arrivé dans le virage 16. En effet, le pilote de F2 est arrivé à pleine vitesse derrière la Williams de Sargeant, qui a bougé de sa trajectoire au dernier moment. L’Australien a déclaré à son ingénieur qui venait d’éviter le “pire accident de toute sa carrière”.
Grosse frayeur pour Jack Doohan qui a croisé un Logan Sargeant au ralenti sur la trajectoire !
📻 "J'ai presque eu le plus gros accident de ma vie."
À cet instant de la séance, Pierre Gasly se tenait à la seconde position de la feuille des temps, alors que Théo Pourchaire 18e et Isack Hadjar 20e fermait la marche. Toutefois, le leader du championnat de F2 a monté un train de gommes tendres sur son Alfa Romeo en fin de séance avec l’objectif d’inscrire un très beau chrono.
Après quarante minutes d’EL1, George Russell (équipé de pneus tendres) menait toujours la danse devant Piastri, Gasly, Sargeant et Vesti.
Bilan mitigé pour les jeunes français
À quelques minutes de la fin de la séance, Isack Hadjar a lui aussi eu droit à son train de gomme soft pour aller chercher un meilleur temps. Du côté de chez Ferrari, les pilotes semblaient avoir du mal à trouver leurs marques sur le tracé de Yas Marina. La chaleur mettait peut-être à mal les performances de la SF-23. Mais à dix minutes du terme de cette séance, Sainz pointait en 18e position alors que Shwartzman était bon dernier. Après des tours lancés, Sainz et Shwartzman sont remontés en sixième et septième place, à plus de six dixièmes de Russell. Du côté de l’écurie Championne du monde, les deux pilotes Red Bull apparaissaient en 14e et 15e position, Dennis devançait Hadjar.
Au passage du drapeau à damier, Russell a conservé le meilleur temps devant Drugovich et Ricciardo. Ferrari se positionne en septième et huitième position devant des Red Bull 16e et 17e. Théo Pourchaire termine la séance à la 14e position avant de sauter dans sa F2 pour disputer ses qualifications.
Le classement F1 des EL1 du Grand Prix d’Abou Dhabi 2023
P
Pilote
Temps
Pneus
1
George Russell
1:26.072
S
2
Felipe Drugovich
+ 0.288
S
3
Daniel Ricciardo
+ 0.361
S
4
Valtteri Bottas
+ 0.381
S
5
Lance Stroll
+ 0.559
S
6
Oscar Piastri
+ 0.593
S
7
Carlos Sainz
+ 0.604
S
8
Robert Shwartzman
+ 0.631
S
9
Pierre Gasly
+ 0.648
S
10
Yuki Tsunoda
+ 0.653
S
11
Logan Sargeant
+ 0.670
S
12
Frederik Vesti
+ 0.743
S
13
Jack Doohan
+ 0.793
S
14
Théo Pourchaire
+ 1.021
S
15
Patricio O’Ward
+ 1.042
S
16
Jack Dennis
+ 1.136
S
17
Isack Hadjar
+ 1.172
S
18
Zak O’Sullivan
+ 1.388
S
19
Kevin Magnussen
+ 1.390
S
20
Oliver Bearman
+ 1.497
S
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La Formule 1, parfois considérée comme la meilleure discipline du sport automobile, a remarquablement évolué au fil du temps. Depuis ses origines modestes jusqu’aux technologies de pointe d’aujourd’hui, le sport a constamment repoussé les limites de l’invention et de l’ingénierie.
Certes un pneu a évolué grâce à des évolutions notables des matériaux et de la technologie. Le développement des pneus a été tout simplement remarquable, en commençant par les simples composés de caoutchouc et en progressant vers des conceptions complexes destinées à des performances maximales. Les fabricants tentent toujours d’améliorer l’adhérence, la durabilité et les performances globales en repoussant les frontières de l’innovation. La technologie des pneus est cruciale pour déterminer les résultats des courses de Formule 1, où chaque milliseconde compte. A ce titre, les équipes et les pilotes recherchent constamment l’excellence dans ce domaine.
Avancées technologiques en aérodynamique
En Formule 1, l’aérodynamisme a une influence majeure sur la maniabilité et les performances des véhicules. Grâce aux améliorations apportées à la conception aérodynamique, les automobiles peuvent désormais prendre des virages plus rapidement et plus régulièrement grâce à plus d’appui. Les dépassements ont été transformés par des innovations comme le système de réduction de la traînée (DRS), qui permet aux conducteurs de modifier le profil aérodynamique de leur voiture pour obtenir un avantage sur la concurrence dans les lignes droites.
Technologies des moteurs : le cœur de l’excellence
Le moteur, la transmission et les systèmes de récupération d’énergie d’une voiture de F1 constituent son groupe motopropulseur. Les groupes motopropulseurs hybrides, qui combinent des moteurs électriques et des moteurs à combustion interne conventionnels, sont devenus la norme ces dernières années. Ces technologies hybrides soutiennent les objectifs de développement durable du sport en améliorant le rendement énergétique en plus d’offrir des performances exceptionnelles.
Les équipes de Formule 1 utilisent une combinaison délibérée de trois types de pneus : des composés tendres, moyens et durs, ceux-ci sont également équipés de Pneus Insa turbo selon Auto-doc.fr. Les performances et l’endurance de ces pneus, soigneusement conçus, sont des éléments essentiels de la stratégie de course. Les pneus tendres sont très appréciés pour leur traction exceptionnelle, qui permet aux pilotes d’obtenir des temps au tour rapides lors des séances de qualification. Les pneus sont un élément essentiel des performances de la Formule 1 car ils constituent le seul point de contact entre la voiture et la piste. Les pneus ont sans aucun doute évolué au fil du temps, les producteurs créant toujours de nouveaux matériaux et structures pour maximiser la traction et la longévité.
Sélection des pneus appropriés pour la Formule 1 : considérations importantes
En Formule 1, le choix des pneus est une décision cruciale qui a un impact direct sur les performances sur piste. Lorsque l’on considère les pneus que je peux mettre sur ma voiture, la performance et l’endurance de ces pneus soigneusement conçus est un élément essentiel de la stratégie de course. Les équipes de Formule 1 analysent méticuleusement les données et les conditions de piste pour faire des choix éclairés concernant la sélection des pneus pour chaque course. L’évolution de la technologie des pneus a conduit au développement de composés adaptés aux caractéristiques spécifiques de la piste, aux conditions météorologiques et aux styles de conduite. Qu’il s’agisse de maximiser l’adhérence dans les virages rapides ou d’assurer la longévité lors de longs relais, choisir les bons pneus est un impératif stratégique pour réussir en Formule 1.
Impact sur la consommation de carburant
L’économie de carburant des voitures de Formule 1 peut être grandement influencée par les pneus choisis. Le degré d’adhérence et de résistance au roulement fourni par diverses compositions de pneus affecte directement la quantité d’essence nécessaire pour déplacer la voiture sur la piste. Les équipes peuvent améliorer leurs performances et réduire leur consommation de carburant en choisissant les bons pneus pour chaque course.
Conseils pour optimiser l’efficacité énergétique
Tout au long d’une course, les pilotes doivent contrôler soigneusement l’usure des pneus afin de maximiser l’économie de carburant. Des économies de carburant peuvent être réalisées en préservant la durée de vie des pneus en s’abstenant de pratiques de conduite agressives, notamment un freinage brusque et un patinage excessif des roues. De plus, maximiser le potentiel de performance des pneus sélectionnés peut être obtenu en conduisant avec un style doux et constant.
Carburants verts : créer un avenir durable
La Formule 1 a adopté le développement de carburants verts comme moyen de réduire les émissions de carbone en réponse aux préoccupations environnementales croissantes. Les biocarburants durables constituent un substitut renouvelable aux combustibles fossiles conventionnels, conformément aux objectifs de responsabilité environnementale et de durabilité du sport.
Mesures de sécurité innovantes : protéger les automobilistes et les badauds
En Formule 1, la sécurité a toujours été la priorité et les développements techniques ont joué un rôle important pour améliorer la sécurité des pilotes et réduire le risque de collision. Les progrès en matière de technologies de sécurité, tels que de meilleures conceptions de cockpit et des matériaux sophistiqués absorbant les chocs, ont évité de nombreux décès et accru la sécurité des pilotes et des spectateurs dans ce sport.
Conclusion
La recherche constante de supériorité technologique a propulsé le développement de la Formule 1. Chaque innovation, des technologies de transmission à l’aérodynamique, a repoussé les limites de la durabilité, de la sécurité et de la performance. Une chose est claire à mesure que le sport se développe : la Formule 1 sera toujours à la pointe de l’innovation technologique et des prouesses techniques.
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Toto Wolff et Frédéric Vasseur ont été convoqués ce jeudi par les commissaires suite à “un certain langage” utilisé lors de la conférence de presse FIA des directeurs d’équipe à Las Vegas.
Les deux hommes s’en sont finalement tirés avec un simple avertissement, même si la FIA n’a pas apprécié “l’incident”.
“La FIA considère qu’un langage de ce type est inacceptable à l’avenir, en particulier lorsqu’il est utilisé par des participants au sport qui ont un statut public important et qui sont considérés par de nombreux adeptes du sport, en particulier les plus jeunes, comme des modèles”, ont indiqué les commissaires.
La FIA s’est toutefois montrée clémente en raison du contexte des propos tenus. Fred Vasseur venait ainsi de voir une de ses deux monoplaces détruites par une plaque d’égout.
La justification des commissaires : “Le directeur d’équipe était extrêmement contrarié et frustré par l’incident qui s’était produit lors de la première journée et il n’était pas habituel qu’il tienne de tels propos.”
Pour Toto Wolff, la justification des commissaires est la suivante : “L’utilisation du langage concerné était dans ce cas inhabituelle et a été provoquée par une interjection abrupte pendant la conférence de presse et ne peut donc pas être considérée comme typique de la part de ce directeur d’équipe.”
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Dans une interview pour le Daily Mail publiée ce mercredi, Christian Horner avait affirmé que Lewis Hamilton avait approché Red Bull avant de renouveler son contrat avec Mercedes.
“Ils (Hamilton et son entourage, ndlr) nous ont contactés à plusieurs reprises”, indiquait Horner. “Plus récemment, au début de l’année, il y a eu une demande pour savoir s’il y avait un intérêt.”
“Il a également rencontré John Elkann (président de Ferrari, ndlr). Je pense qu’il y a eu des discussions sérieuses.”
En marge du Grand Prix d’Abou Dhabi, Lewis Hamilton a toutefois complètement démenti ces propos tenus par le team principal de l’écurie Red Bull. Selon Hamilton, c’est même Horner qu’il l’a contacté en début d’année et non l’inverse.
“C’est complètement faux”, a répondu Hamilton au micro Canal+. “Je n’ai pas parlé avec Christian [Horner] depuis très très longtemps.”
“Et de ce que je sais, personne dans mon équipe n’a parlé avec Red Bull. Par contre, eux m’ont contacté. Christian m’a contacté plus tôt dans l’année.”
“C’était sur mon ancien téléphone, donc je ne l’ai vu que longtemps après dans l’année. J’ai juste répondu : ‘Désolé… je n’utilise plus ce téléphone désormais’.”
“Mais je l’ai félicité pour le travail formidable qu’il a fait, et que j’espérais me battre avec eux en piste prochainement. C’est tout. Donc je ne comprends pas de quoi il parle.”
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