Helmut Marko, jamais avare de commentaires sur l’actualité de la discipline reine, s’est exprimé concernant la situation contractuelle de Charles Leclerc chez Ferrari.
Le Monégasque vit en effet un début de saison cauchemardesque avec seulement 6 petits points au compteur après 3 courses. La faute à la malchance dans un premier temps, privé d’un podium à Bahreïn en raison d’un problème sur son moteur.
Ce souci l’avait ensuite contraint à subir une pénalité de 10 places sur la grille à Djeddah, ruinant ses espoirs de marquer de gros points en course.
Alors que le vainqueur du Grand Prix d’Australie 2022 se présentait à Melbourne avec l’objectif d’enfin lancer sa saison, le week-end fut à nouveau très compliqué. Tout d’abord, une mésentente en qualifications avec son équipe, avant un contact avec Lance Stroll, mettant fin à sa course dès le 3e virage.
Un départ de Ferrari possible dès fin 2023 ?
Avec un tel début de saison suivi d’une pause de près d’un mois sans Grand Prix, il n’en fallait pas moins pour que des rumeurs de départ apparaissent pour le Monégasque.
Ainsi, Helmut Marko, conseiller Red Bull, a d’abord balayé la rumeur Sainz avant de se pencher sur la situation de Leclerc, sous contrat avec Ferrari jusqu’à fin 2024.
“Pourquoi Ferrari devrait-elle se séparer de Carlos [Sainz] ? Cela n’a aucun sens. Carlos fait du bon travail. Ferrari a d’autres problèmes que de penser à Sainz“, affirme t-il à Sport1.
“Cela n’a aucun sens que Ferrari veuille se passer de Carlos Sainz, qui fait du bon travail“, poursuit Marko s’exprimant cette fois pour Sport Bild.
“Pour Charles Leclerc, en revanche, il est courant que le pilote doive marquer un nombre minimum de points plus ou moins rapidement après la pause estivale.“
“Si ce nombre de points n’est pas atteint, les deux parties sont libres de mettre fin au contrat : cette clause a permis à Sebastian Vettel de rejoindre Ferrari en 2015“, a conclu l’Autrichien.
En effet, à l’époque, le quadruple champion du monde en titre allemand avait réalisé une saison 2014 moyenne, lui permettant d’avoir une porte de sortie l’année suivante pour rejoindre la Scuderia.
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Dans un communiqué, la CGT Energie a menacé de plonger “dans le noir” plusieurs grands événements à venir. Parmi ces derniers, le Grand Prix de Monaco, qui se tiendra les 26-27-28 mai prochains, a été cité par les syndicats. En effet, la course monégasque est alimentée par des installations électriques françaises.
“Macron a promis 100 jours pour apaiser, nous lui promettons 100 jours d’actions et de colère ! L’heure est loin d’être à la résignation“, annonce les syndicats de la CGT Energie.
“En mai, fais ce qu’il te plait ! Le festival du film de Cannes, le Grand Prix de Monaco, le tournoi de Roland-Garros, le festival d’Avignon pourraient se retrouver dans le noir ! On ne lâchera rien !“
Cannes et Roland-Garros prennent les menaces au sérieux
Le Grand Prix de Monaco n’est pas le seul événement ciblé par les syndicats. Le Festival de Cannes qui se déroulera du 16 au 27 mai prochain, à quelques kilomètres de la principauté, est également concerné.
Ainsi, Anna Créti, spécialiste sur le sujet énergétique, interrogée par BFMTV, pense que les syndicats ont “techniquement les moyens“ de couper l’électricité du Festival de Cannes.
Le tournoi de tennis de Roland-Garros est également l’autre événement sportif cité par les syndicats de la CGT Energie. Alors que le tournoi du Grand Chelem se déroulera du 28 mai au 11 juin prochain, BFMTV indique également que la Fédération Française de Tennis suit avec “beaucoup d’attention les menaces de perturbations en lien avec la réforme des retraites.“
Les organisateurs du Grand Prix de Monaco vont ainsi devoir étudier la situation pour éviter toute perturbation. Par ailleurs, le week-end monégasque a toujours un programme chargé, ne permettant pas de retard. En plus de la Formule 1 – la Formule 2, la Formule 3 et la Porsche Supercup – sont ainsi présentes.
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Trois podiums en autant de Grand Prix, Fernando Alonso vit un début de saison 2023 de rêve. Le nouveau pilote Aston Martin peut enfin s’exprimer au volant d’une monoplace performante, une première pour lui depuis 2013 en F1.
De retour dans la discipline reine en 2021, Fernando Alonso, qui fêtera ses 42 ans le 29 juillet prochain, garde la même envie de vaincre qu’à ses débuts en 2001. L’Espagnol paraît ainsi toujours au top de sa forme, alors qu’il se bat pourtant avec certains pilotes deux fois plus jeunes que lui.
Toutefois, le double champion du monde 2005 et 2006 a révélé qu’il avait dû modifier sa façon de fonctionner pour lutter contre ce désavantage de l’âge.
“J’ai modifié mes habitudes en matière d’exercice physique, de voyage et d’alimentation“, affirme le natif d’Oviedo dans un entretien avec le Daily Mail.
“Pour entretenir mes muscles, je dois faire plus de musculation que de cardio que lorsque j’étais plus jeune. Et j’ai réduit ma consommation de glucides.“
“Par ailleurs, j’avais l’habitude d’arriver à Melbourne en début de semaine, peut-être le dimanche ou le lundi, mais maintenant j’y vais le plus tard possible. Même si je souffre davantage du décalage horaire, il est essentiel de me ressourcer à la maison aussi longtemps que possible.“
Même si l’ancien pilote Alpine impressionne, et se situe toujours parmi les tout meilleurs pilotes du plateau, il sait également qu’il lui reste peu d’années pour atteindre son objectif ultime.
“Je veux rester deux ou trois ans à ce niveau. C’est aussi l’objectif de l’équipe. Nous n’en sommes pas au stade de gagner un championnat, mais nous voulons avoir le temps d’atteindre l’objectif“, poursuit Alonso.
“C’est pourquoi je suis revenu en Formule 1 en 2021 après quelques années d’absence. Je pensais que les nouveaux règlements entrés en vigueur la saison dernière bouleverseraient la donne, et c’est ce qui s’est passé.“
“Oui, Red Bull domine, mais il n’y a pas de grands écarts. Tout le peloton est couvert par 1,2-1,3 seconde. Alors peut-être que dans quelques années, nous serons au même niveau.“
“Je réfléchirai à mon avenir après cela. Je ne pense pas que je serai fatigué de conduire, mais les exigences des voyages sur une saison aussi longue peuvent être épuisantes.“
“J’en aurai peut-être assez après 23 ou 24 ans. Mais pour l’instant, avec mon expérience, j’aime à croire que je suis meilleur que jamais“, conclut l’Espagnol.
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Après un début de saison une nouvelle fois décevant, Mercedes a montré des premiers signaux positifs à Melbourne. Qualifiés deuxième et troisième, les pilotes Mercedes avaient mené la course avant le premier drapeau rouge.
Cela reste toutefois insuffisant pour les octuples champions du monde, qui n’ont qu’un seul objectif en tête : être capable de se battre pour les victoires lors de chaque week-end de course.
Mercedes “définitivement dans la bonne direction” – Russell
“Nous sommes ici pour gagner, nous sommes ici pour nous battre pour les victoires et pour le championnat, et il est clair que nous ne sommes pas en position de le faire pour l’instant“, indique le Britannique cité par F1.com.
“Mais de grands changements sont à venir… Naturellement, on ne peut pas apporter les choses si rapidement à la voiture, mais je pense qu’en temps voulu, nous verrons de grands changements et j’espère que les temps au tour en témoigneront.“
Même si Russell ne veut pas créer de faux espoirs, l’ancien pilote Williams semble confiant par la direction prise en termes de développement.
“Nous travaillons très dur en ce moment avec ces changements. Je ne veux pas en dire trop, et nous devons nous assurer qu’ils fonctionnent comme prévu“, poursuit le vainqueur du Grand Prix du Brésil 2022.
“Mais comme nous l’avons dit à plusieurs reprises, nous avons probablement obtenu plus de gains au cours des deux ou trois dernières semaines que nous n’en avons obtenu pendant tout l’hiver en développant clairement dans la mauvaise fenêtre, donc cela va définitivement dans la bonne direction“, conclut Russell.
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Le samedi 15 avril dernier, le magazine Die Aktuelle prétendait sur sa Une avoir obtenu “la première interview“ de Michael Schumacher. L’article en question était en fait constitué de réponses générées par une intelligence artificielle.
La légende allemande qui a subi un terrible accident de ski le 29 décembre 2013, n’est plus apparu en public depuis. Souffrant d’un grave traumatisme crânien, il était sorti du coma en 2014. La famille tient par ailleurs à ne divulguer aucune information sur l’état de santé de Michael Schumacher.
Dans ce contexte, certains médias essayent malgré tout d’obtenir des informations… ou bien d’en inventer. C’est ainsi le cas du magazine allemand Die Aktuelle qui n’a pas hésité à affirmer avoir une “sensation mondiale“ alors qu’il s’agissait purement et simplement d’une fausse interview.
La Une publiée par le magazine allemand Die Aktuelle
Le groupe détenant le magazine Die Aktuelle a réagi après la fausse interview
La famille Schumacher avait par la suite annoncé il y a quelques jours son intention de porter une action en justice. Devant l’indignation générale, le magazine se devait de réagir.
Bianca Pohlmann, directrice générale du groupe Funke, dont fait partie Die Aktuelle, a donc pris la parole. “Cet article de mauvais goût et trompeur n’aurait jamais dû être publié“, affirme-t-elle.
“Il ne correspond en rien aux normes journalistiques que nous, et nos lecteurs, attendons d’un groupe comme Funke.“
Anne Hoffmann, rédactrice en chef de Die Aktuelle depuis 2009, a ainsi été virée suite à cette fausse interview.
Ce n’est en effet pas la première fois que ce magazine allemand fait polémique à ce sujet. Plusieurs Unes dans le passé ont déjà comporté des informations mensongères à l’égard de Michael Schumacher.
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Ne pas s’accrocher avec son coéquipier est souvent considéré comme une règle de base en sport automobile. Malheureusement pour Tsunoda, c’est l’expérience qu’il a vécu l’an passé à Silverstone.
Le Japonais était en effet parti en tête-à-queue au virage 3 au moment où il tentait de passer Pierre Gasly, mettant fin aux espoirs de bons résultats pour les deux AlphaTauri. Un crash d’autant plus frustrant que les deux coéquipiers figuraient dans les points à ce moment-là.
L’accrochage Tsunoda-Gasly à Silverstone en 2022
« Pourquoi as-tu fait une chose aussi stupide ? »
Franz Tost à Yuki Tsunoda après la course
Yuki Tsunoda est récemment revenu sur cet épisode malheureux et notamment la réaction de son patron, Franz Tost.
“Si j’ai fait une très mauvaise performance ou si j’ai fait une bêtise, comme percuter un coéquipier à Silverstone l’année dernière, il ne sera pas content“, a indiqué Tsunoda au podcast Beyond the Grid.
“Mais en même temps, il dit toujours les points que je dois améliorer pour la prochaine fois. Il n’est jamais trop dur.“
Même s’il a tenu à louer les qualités de son boss, Tsunoda ne garde pas d’excellents souvenirs des heures qui ont suivi ce Grand Prix de Grande-Bretagne, bien au contraire.
Un “très long voyage” que Tsunoda préfère “oublier”
D’abord sermonné par Tost juste après la course, le Japonais a eu ensuite la mauvaise surprise de voir son patron faire tout le voyage du retour vers l’Italie à ses côtés.
“Il ne m’a pas frappé, bien sûr !“, plaisante Tsunoda. “La voix était nettement plus forte que d’habitude. Tout d’abord, quand j’étais dans la salle des ingénieurs, il m’a dit : ‘Yuki, viens dans mon bureau. Pourquoi as-tu fait une chose aussi stupide ?’“
“Malheureusement, sur le chemin du retour en Italie, nous étions sur le même vol et nous étions assis l’un à côté de l’autre. Et sur le chemin de l’aéroport de Silverstone, nous étions dans la même voiture.“
“C’était un long, très long voyage et c’est vraiment quelque chose que je veux oublier. Mais ce sont des choses dont je dois me souvenir pour l’avenir afin de m’améliorer“, a conclu le pilote AlphaTauri.
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