La pluie pourrait perturber le Grand Prix d’Espagne qui se déroulera ce week-end sur le circuit de Barcelona-Catalunya. En effet, de grosses perturbations sont attendues samedi et dimanche.
Une semaine après que des trombes d’eau se soient abattues pendant le Grand Prix de Monaco, la pluie devrait faire son retour et suivre les F1 en Espagne. Si les essais libres devaient se dérouler sur une piste sèche, la pluie est attendue lors des qualifications du samedi ainsi qu’au moment de la course ce dimanche.
La saison passée, c’est sous un soleil de plomb que le moteur de Charles Leclerc avait rendu l’âme et que Max Verstappen s’était une nouvelle fois imposé. Le futur double champion du monde de Formule 1 avait alors devancé Sergio Pérez et George Russell.
Les orages menacent à Montmelo
Selon The weather Channel, la journée du vendredi qui accueillera les Essais Libres 1 et les Essais Libres 2 devrait se dérouler sous un ciel partiellement nuageux. Les températures grimperont jusqu’à 24 degrés et un vent de 10 à 15 km/h soufflera aux abords de Barcelone. Les chances de pluies ne seront que de 24 %.
Samedi, les pilotes de F1 seront de retour en piste pour disputer les Essais Libres 3 ainsi que la séance qualificative. La température maximale sera de 23 degrés avec des rafales de vent semblables à celles de la veille. Les chances de pluie sont estimées à 70 %.
Les conditions climatiques devraient être les mêmes le dimanche. De la pluie est attendue alors que les pilotes prendront le départ du Grand Prix d’Espagne. La température sera de 23 degrés alors que le vent ne s’intensifiera pas. Les chances de voir la pluie s’abattre à nouveau sur un Grand Prix sont de 70 %.
Il faut remonter à la saison 1996 pour retrouver une course en Espagne perturbée par la pluie. À l’époque, Michael Schumacher avait réalisé une de ses plus grandes performances en F1 en signant sa première victoire chez Ferrari dans des conditions dantesques.
Le départ de la course sera donné à 15 h 00 et sera diffusé sur Canal +. Le Grand Prix sera commenté par Julien Fébreau et Jacques Villeneuve.
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Mick Schumacher a vu son volant lui être retiré des mains la saison passée après une seconde année en Formule 1 avec Haas. Malmené par son coéquipier, Kevin Magnussen, le jeune allemand a vu son baquet être confié à un revenant, Nico Hülkenberg.
Ayant également perdu le soutien de la Scuderia Ferrari, le fils du septuple champion du monde de F1 a trouvé refuge chez Mercedes. Mick Schumacher est aujourd’hui le troisième pilote de la firme allemande et travaille dans le simulateur de la marque à l’étoile.
Ces derniers jours, le nom de Mick Schumacher a été lié à une rumeur l’envoyant chez Williams à la place de Logan Sargeant. Motorisée par Mercedes, l’écurie britannique entretient de fait des liens avec les Flèches d’Argent. Toutefois, cette rumeur s’est rapidement évaporée.
Le pilote allemand ne souhaite bien évidemment pas continuer à cirer le banc chez Mercedes et tente de retrouver une place en F1 dès la saison prochaine.
“C’est une situation difficile“, a déclaré le patron de l’équipe, Toto Wolff, “parce que les cockpits sont pris chez nous“.
“Je souhaiterais que Mick obtienne un siège, car il le mérite, mais la situation en 2024 est très défavorable.“
“Quelques portes s’ouvriront en 2025”, a-t-il déclaré à Sky Deutschland, “et nous devrons voir comment la situation évolue chez Williams.“
“Mais ce n’est pas facile“, a ajouté l’Autrichien.
Le patron de Mercedes a précisé que les négociations entre le clan Schumacher, Mercedes et une éventuelle autre écurie seraient discrètes afin de ne pas mettre des bâtons dans les roues de Mick Schumacher.
“Nous devons être prudents, car si nous soutenons trop Mick, certains voudront lui rendre la tâche particulièrement difficile lorsqu’il sortira de l’ombre“, a conclu Toto Wolff.
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En amont du Grand Prix de Monaco, Ralf Schumacher, ancien pilote de F1, avait laissé entendre que Mick Schumacher avait été proche de signer avec AlphaTauri pour la saison 2023 de Formule 1. La firme italienne, écurie sœur de Red Bull, aurait finalement décidé d’engager Nyck de Vries à la place du pilote sortant de chez Haas.
Ralf, oncle de Mick Schumacher, affirme qu’Helmut Marko aurait mis son veto à l’accord entre la petite Scuderia et le fils du septuple champion du monde allemand.
“Marko semble avoir un problème avec le nom de Schumacher ou personnellement avec Mick“, a-t-il déclaré. “Sinon, je ne comprends pas du tout pourquoi il n’y a pas eu de négociations, car il faut garder à l’esprit que la marque Red Bull n’est pas très implantée en Allemagne.“
“Avoir un Schumacher dans son équipe de Formule 1 aurait eu beaucoup d’influence“, a ajouté Ralf Schumacher.
Helmut Marko a, comme à son habitude, rapidement réagi à ces propos lors d’une interview avec le journal autrichien Osterreich.
“Je n’ai aucun problème avec le nom Schumacher“, a-t-il insisté.
“Pour moi, Michael Schumacher est le plus grand et je parle régulièrement à Ralf.“
“Il confond juste une chose ! Notre programme de F1 est basé sur la performance, pas sur le marketing“, a conclu l’Autrichien.
Quel avenir en F1 pour Mick Schumacher ?
Le pilote allemand est aujourd’hui pilote de réserve de Mercedes en F1. Toutefois, il y a peu de chance de voir Mick rouler dans les prochaines années à bord d’une Flèche d’Argent. Du côté de Mercedes, on travaille en coulisse pour rapidement trouver un volant à Mick Schumacher. Cependant, il sera peu probable de voir le jeune allemand sur la grille de la F1 en 2024.
Le nom de Mick Schumacher avait circulé du côté de chez Williams en potentiel remplaçant de Logan Sargeant. Cette rumeur a rapidement été démentie par la suite. Mick Schumacher n’a plus qu’à croiser les doigts tout en se montrant présent dans les paddocks pour ne pas se faire oublier.
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Le pilote mexicain est arrivé à Monaco avec la réputation d’être le meilleur pilote de la grille sur les pistes en ville. En effet, Sergio Pérez a récemment remporté le Grand Prix d’Azerbaïdjan, mais également l’édition 2022 du GP de Monaco. Une pression peut-être trop importante sur les épaules du pilote Red Bull qui a craqué dès les qualifications.
Dans les premiers instants de la Q1, Sergio Pérez est allé détruire sa RB19 dans les Tecpro du virage de Sainte Dévote. Un accident lourd de conséquences puisqu’il força le pilote à s’élancer depuis la dernière place sur la grille de départ.
“Je dois m’excuser auprès de toute mon équipe, car il est inacceptable de commettre ce genre d’erreur“, a-t-il déclaré. “Maintenant, je dois aller de l’avant et en tirer les leçons.“
Malgré le bon rythme de sa monoplace, Sergio Pérez n’est pas parvenu à remonter dans la zone des points. Pire, il a, à plusieurs reprises, heurté le mur et d’autres pilotes.
“Je me suis rapidement retrouvé dans le trafic, ce qui m’a mis dans une position difficile. Ensuite, il a commencé à pleuvoir et nous étions parmi les derniers à faire l’arrêt au stand. J’ai alors heurté le mur, j’ai endommagé mon aileron avant lors d’une bataille avec [Kevin] Magnussen.“
“C’était tout simplement mauvais. Quand vous êtes dans cette position, vous devez prendre beaucoup de risques.“
“C’est la première grosse erreur que je fais dans ce championnat, mais je ne peux plus me permettre un autre zéro pointé.“
Interrogé par le diffuseur Viaplay pour savoir s’il se voyait toujours dans la course au titre, Perez a répondu : “Je vais essayer. Je vais essayer de remporter des victoires lors des prochaines courses.“
“C’est maintenant crucial si je veux garder mes espoirs pour le championnat, alors je vais faire de mon mieux“, a déclaré le Mexicain.
Sergio Pérez ne va pas avoir beaucoup de temps pour se remettre de son week-end en principauté. En effet, il va devoir sauter dans son baquet dès ce vendredi pour disputer les Essais Libres 1 du Grand Prix d’Espagne.
À ce jour, Sergio Pérez, deuxième du classement des pilotes, compte 39 points de retard sur le leader, Max Verstappen.
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Le Grand Prix de France n’apparaît plus au calendrier de la F1 depuis le début de la saison. La dernière édition a été organisée la saison passée et avait vu Max Verstappen s’imposer devant Lewis Hamilton et George Russell.
Toutefois, les espoirs d’un retour de la France au calendrier de la F1 ne sont pas illusoires. En effet, l’avenir de ce Grand Prix historique a été aux cœurs de nombreuses discussions dans les coulisses de Monaco le week-end dernier.
Comme l’ont rapporté RMC et le journal L’Équipe, Stefano Domenicali, PDG de la F1, a rencontré non seulement Nicolas Deschaux, patron de la Fédération française du sport automobile, mais aussi Jean Alesi, nouveau président du circuit Paul Ricard et ancien pilote de Formule 1.
Eric Boullier, ancien patron de McLaren en F1, et qui était en charge du Groupement d’Intérêt Public du GP de France, était également présent lors de ces réunions.
“J’ai une amitié assez forte avec Stefano Domenicali“, a déclaré l’ancien pilote de F1, Alesi. “Je lui ai demandé si nous pouvions parler d’un nouveau GP de France ou non, et il m’a répondu ‘bien sûr’. Pour lui, il n’y a pas de problème.“
“Le souhait de Stefano est de parler aux principales institutions françaises, c’est-à-dire au président de la République“, a-t-il révélé.
La renaissance du Grand Prix de France pourrait intervenir avec le retour d’un autre Grand Prix historique de la F1, le GP d’Allemagne. En effet, la France et l’Allemagne pourraient à terme se partager leur place au calendrier de la F1 et alterner d’une année sur l’autre.
Une chose est certaine, l’envie est là et des discussions sont en cours. Tout cela n’aboutira peut-être pas au retour de la F1 dans l’hexagone, mais au moins certains acteurs de ce projet auront essayé.
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