La série Netflix a gagné en popularité au fil du temps, les dernières saisons attirant la plus grande audience à ce jour et entrant dans le top 10 hebdomadaire dans 56 pays. En mai dernier, Netflix a annoncé qu’un nouvel accord avec la Formule 1 avait été conclu pour une cinquième et une sixième saison de Drive to Survive diffusées sur la plateforme de streaming.
Quelle est la date de diffusion Netflix de Drive to Survive saison 6 ?
Même si Netflix n’a pas encore communiqué de date de sortie officielle, il est assez facile de prédire la date de sortie pour la saison 6 de Drive to Survive. Cela est dû au fait que les cinq saisons publiées l’ont toutes été à des moments similaires. Voici les dates de sortie des cinq premières saisons de Drive to Survive :
Drive to Survive Saison 1 : 8 mars 2019
Drive to Survive Saison 2 : 28 février 2020
Drive to Survive Saison 3 : 19 mars 2021
Drive to Survive Saison 4 : 11 mars 2022
Drive to Survive Saison 5 : 24 février 2023
Chaque saison est sortie fin février ou début/mi-mars. Ce qui est également bon à savoir, c’est que ces saisons coïncident avec le début des campagnes de F1. La série Drive to Survive sera lancée une semaine ou deux avant le début de la saison de F1 suivante, généralement autour des tests de pré-saison.
Dans cet esprit, et avec la pré-saison pour 2024 commençant fin février, nous prévoyons que la saison 6 de Drive to Survive sera mise en ligne autour du vendredi 23 février. Une nouvelle saison Drive to Survive est toujours lancée un vendredi, comme le révèlent les dates ci-dessus.
Quels pilotes seront dans la saison 6 de Drive to Survive ?
Au niveau des pilotes et du synopsis, peu de choses risquent de changer par rapport aux saisons précédentes. Nous sommes sûrs de voir des pilotes comme Max Verstappen, Lewis Hamilton, Pierre Gasly, George Russell, Carlos Sainz Jr etc… Nous verrons également les écuries Red Bull, Mercedes, Haas, Ferrari, McLaren et Williams.
La série continuera évidemment de se focaliser sur ce qui se passe dans les coulisses mais aussi autour des acteurs moins connus de la Formule 1 comme les équipes et le staff de chaque course et écurie. C’est d’ailleurs une des raisons du succès de la série, qui a rendu la discipline plus accessible pour le public, plus humaine. Les audiences de la Formule 1 n’ont cessé d’augmenter depuis le début de la diffusion de la série et l’offre de paris sportifs sur la Formule 1 s’est progressivement agrandie afin de répondre à la demande croissante.
Drive to Survive saison 7 : est-ce prévu ?
Netflix n’a pas encore annoncé renouveler Drive to Survive pour la saison 7 mais il est possible que des plans soient déjà en place. Même si la saison de Formule 1 cette année manque de suspense, on peut faire confiance à Netflix pour trouver du “drama” à raconter, utilisant les rivalités entre pilotes et patrons d’écurie.
Il est courant pour Netflix, et d’autres producteurs, d’attendre les bons chiffres d’audience de saisons précédentes avant de renouveler une série. Il est donc probable d’en apprendre plus sur la saison 7 de Drive to Survive quelques semaines après le lancement de la saison 6.
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Comme souvent à Austin, le pilote en deuxième position sur la grille a réussi à prendre la tête dès le premier virage. Cette année, c’est donc Lando Norris qui est allé chercher Charles Leclerc à l’extinction des feux.
Un peu plus loin dans le peloton, un contact à haute vitesse entre Esteban Ocon et Oscar Piastri dans le virage 2 a ruiné la course du Français. Apres avoir rétrogradé en dernière position, le pilote Alpine était très vite contraint à l’abandon.
Un accrochage qui a peut-être également coûté l’abandon pour Oscar Piastri, contraint de mettre fin à son Grand Prix dès le 10e tour.
Hamilton très rapide, les Ferrari souffrent
Très rapidement, Lewis Hamilton, 4e après le départ, a dépassé la Ferrari de Carlos Sainz pour remonter en 3e place. Au tour suivant, le 5e des 56 au programme, Max Verstappen imite son ancien rival pour le titre 2021 en passant le pilote espagnol.
C’est ensuite Charles Leclerc qui a perdu une position au profit de Lewis Hamilton (tour 6) puis de Max Verstappen (tour 11). Un dépassement musclé de la part du triple champion du monde, jugé toutefois dans les règles par les commissaires.
Verstappen entame la première salve d’arrêts
Avant que la première fenêtre d’arrêts au stand ne s’ouvre, Lando Norris mène devant Lewis Hamilton, Max Verstappen, Charles Leclerc et Carlos Sainz.
La Red Bull numéro un est alors appelée au stand au tour 17 pour tenter l’undercut en chaussant les médiums. Lando Norris l’imite un tour plus tard alors que Lewis Hamilton tente le pari de rester en piste quelques tours.
Une stratégie dont Lewis Hamilton lui-même doute, après avoir été passé par Verstappen suite à son arrêt. “Je suis ressorti tellement derrière”, indiquait le Britannique à la radio, ce à quoi son ingénieur lui répondait : “On se décale juste”.
Après 25 tours de course et tous les arrêts effectués, Norris menait le Grand Prix devant Verstappen, Hamilton, Sainz, Pérez et Leclerc qui s’est arrêté bien plus tard que les autres.
Verstappen prend la tête
Sur un gros rythme avec ses pneus médiums, Max Verstappen P2 revient petit à petit sur Lando Norris en tête du Grand Prix. C’est finalement au 29e des 56 tours de course que le Néerlandais prend les commandes du Grand Prix, après un plongeon sur Lando Norris (en pneus durs) au virage 12.
Au tour 35, Lando Norris lance la deuxième salve d’arrêts au stand pour chausser des pneus durs avant que Max Verstappen ne couvre sa stratégie un tour plus tard pour mettre lui aussi des gommes blanches. Le triple champion du monde ressort devant la McLaren avec une marge de moins de deux secondes.
Verstappen et Norris ont ensuite repris la tête de la course suite à l’arrêt de Hamilton (médiums) et les dépassements sur Leclerc, qui lui est sur une stratégie décalée à un arrêt.
Le classement est alors le suivant : Verstappen, Norris, Leclerc, Hamilton, Sainz.
Victoire de Verstappen qui résiste au retour de Hamilton
Sur des gommes médiums plus neuves que ses adversaires qui sont sur des pneus durs, Hamilton passe Leclerc pour monter sur le podium. Le septuple champion du monde revient alors sur Lando Norris en 2e position.
Lewis Hamilton parvient finalement à doubler Lando Norris au 49e tour, pointant à cinq secondes de Max Verstappen en tête qui gère lui un problème de freins.
Charles Leclerc est lui en grande délicatesse avec ses pneus, en étant sur une étrange stratégie à un arrêt, le seul du plateau. Le Monégasque est ainsi déposé par Sainz pour P4 et Pérez pour P5.
Max Verstappen s’impose finalement avec deux secondes de marge sur Lewis Hamilton. Lando Norris complète le podium.
Le classement F1 du Grand Prix des États-Unis 2023
P
Pilote
Temps
Points
1
Max Verstappen
25
2
Lewis Hamilton
+ 2.2
18
3
Lando Norris
+ 10.7
15
4
Carlos Sainz
+ 15.1
12
5
Sergio Pérez
+ 18.4
10
6
Charles Leclerc
+ 24.6
8
7
George Russell
+ 24.9
6
8
Pierre Gasly
+ 47.9
4
9
Lance Stroll
+ 48.6
2
10
Yuki Tsunoda
+ 74.3
2
11
Alex Albon
+ 86.7
12
Logan Sargeant
+ 87.9
13
Nico Hülkenberg
+ 89.9
14
Valtteri Bottas
+ 98.6
15
Zhou Guanyu
+ 1 tour
16
Kevin Magnussen
+ 1 tour
17
Daniel Ricciardo
+ 1 tour
–
Fernando Alonso
Abandon
–
Oscar Piastri
Abandon
–
Esteban Ocon
Abandon
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Après avoir signé son dernier chrono en Q3, Charles Leclerc était contraint d’attendre que son ingénieur lui informe des chronos de ses concurrents qui terminaient leur tour.
C’est alors que le Monégasque a eu une grosse frayeur lorsque son ingénieur, Xavier Marcos, lui a annoncé un tour supprimé… pour Verstappen.
“J’ai juste eu une crise cardiaque, parce que mon ingénieur m’a dit ‘track limits’ et ensuite… ‘pour Verstappen’ ”, a expliqué Leclerc en conférence de presse post-qualifs.
“Et quand j’ai entendu ‘track limits’, ouais, j’ai frappé mon volant et mon casque, et puis j’ai entendu ‘pour Verstappen’ et puis j’ai dit ‘OK, c’est une meilleure nouvelle pour nous’.”
“Donc non, c’est pourquoi, sur le moment, j’ai juste dit à Xavi (son ingénieur, ndlr) : ‘S’il te plaît, dis-moi le nom avant les track limits, juste pour que je ne m’emballe pas trop’. Et c’est tout.”
Voici l’échange radio entre Charles Leclerc et son ingénieur, Xavier Marcos, après la fin de son dernier tour rapide en Q3 :
Marcos : “Le temps de Verstappen 1:34.71.”
Leclerc : “P*tain de m*rde. P*tain de m*rde.”
Marcos : “Temps au tour supprimé pour Verstappen.”
Leclerc : “P*tain, dis-moi le nom avant ! Oh mon dieu.”
Marcos : “Verstappen : temps au tour supprimé.”
Leclerc : “Ouais, j’ai eu une crise cardiaque entre-temps.”
Marcos : “Ouais, Ok.”
Par ailleurs interrogé sur la menace que représente Verstappen depuis la sixième position ce dimanche, Leclerc se méfie toujours des Red Bull.
“Red Bull est toujours très fort. Et évidemment, Max est toujours dans le coup cette année. Donc oui, c’est sûr qu’il sera une menace et qu’il sera là [samedi].”
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Lewis Hamilton n’a pas caché sa satisfaction après une journée au volant de sa Mercedes équipée d’un nouveau fond plat. Alors que le septuple champion du monde s’est régulièrement plaint depuis début 2022 du manque d’efficacité du développement réalisé par son équipe, cette fois Hamilton a apprécié l’évolution.
“Je ne sais pas vraiment si c’est un signe pour l’année prochaine mais, au fur et à mesure que nous continuons à expérimenter, nous savons de mieux en mieux où nous allons et où nous dirigeons le flux de la voiture”, a indiqué Hamilton après s’être qualifié troisième ce vendredi à Austin.
“Le plancher n’est pas très différent. Il y a toujours un engouement pour les améliorations apportées par quelqu’un, mais le reste de la voiture est exactement le même. Et il y a beaucoup, beaucoup de domaines dans lesquels nous pouvons nous améliorer.”
Hamilton voit enfin une réelle amélioration sur sa Mercedes
“Mais c’est une amélioration”, poursuit Hamilton. “C’est l’une des premières améliorations que j’ai ressenties au cours des deux dernières années.”
“C’est donc un point positif, et il nous faut juste deux ou trois fois cette étape pour nous mettre en mode super compétitif, ce que je crois que les gars peuvent faire. Je suis vraiment reconnaissant pour les améliorations que l’équipe a apportées à la voiture.”
“Tout le monde a travaillé très dur pour apporter des améliorations et, pour que nous soyons aussi proches de McLaren et Ferrari et même des Red Bull, je pense que cela montre à quel point tout le monde a travaillé dur.”
Interrogé sur ses possibilités en course, Lewis Hamilton espère être en mesure de se battre pour la victoire face à Ferrari, McLaren et évidemment Verstappen.
“Il est trop tôt pour se prononcer”, a-t-il reconnu. “Aucun d’entre nous n’a fait de longs runs, donc je n’en ai aucune idée.”
“Peut-être que le fait que les Red Bull ne soient pas dans le trio de tête rendra la lutte plus serrée, car elles ont souvent une bonne longueur d’avance et disparaissent tout simplement devant. J’espère donc que nous pourrons tous les trois nous livrer une bataille serrée.”
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Les pilotes étaient de retour en piste ce vendredi pour la seule et unique séance d’essais libres du week-end. Une heure particulièrement importante pour préparer la qualification, et ce d’autant plus pour Daniel Ricciardo qui fait son retour au volant de l’AlphaTauri.
Max Verstappen, comme souvent très rapide à se mettre dans le rythme, a signé le premier chrono référence en pneus durs. Un meilleur temps ensuite battu par la Mercedes de Lewis Hamilton en 1:37.394, lui aussi en pneus durs. Lando Norris est lui venu compléter le top 3 à la fin du premier run. Le pilote McLaren, en pneus médiums, pointait à deux dixièmes de Hamilton.
Peu après la mi-séance, Oscar Piastri s’est fait une belle frayeur au volant de sa McLaren. Le jeune australien qui sort d’un week-end impressionnant au Qatar, était trop large en sortie du virage 9, l’emmenant sur les dégagements en herbe du COTA. Totalement déséquilibré, le pilote McLaren a réussi presque miraculeusement à sauver la situation, évitant ainsi de ruiner son début de week-end.
Verstappen entame parfaitement le week-end avec le meilleur temps
Avec 20 minutes restantes, c’est le coéquipier de Piastri, Lando Norris qui signe le meilleur temps sur les pneus médiums en 1:37.256.
Après avoir chaussé les gommes tendres, Alex Albon a largement battu ce chrono référence en 1:36.535, soit 1.1 seconde devant son coéquipier Logan Sargeant, sur le même train de gommes. L’Américain, sous pression pour garder son baquet en 2024, a finalement réduit son retard à quatre dixièmes avec Albon.
Après les Williams, bon nombre d’équipes chaussent également les pneus tendres. Max Verstappen signe ainsi le meilleur temps, trois dixièmes devant Sergio Pérez.
Charles Leclerc, deuxième (+0.156) et Lewis Hamilton, troisième (+0.281) sont venus s’intercaler entre les deux Red Bull.
À noter la belle prestation de Daniel Ricciardo, qui pour son retour, se place à quelques centièmes de son coéquipier, Yuki Tsunoda.
Le classement des EL1 du Grand Prix des États-Unis 2023
P
Pilote
Temps
Pneus
1
Max Verstappen
1:35.912
S
2
Charles Leclerc
+ 0.158
S
3
Lewis Hamilton
+ 0.281
S
4
Sergio Pérez
+ 0.300
S
5
Kevin Magnussen
+ 0.560
S
6
George Russell
+ 0.562
S
7
Alexander Albon
+ 0.580
S
8
Carlos Sainz
+ 0.621
S
9
Nico Hülkenberg
+ 0.790
S
10
Pierre Gasly
+ 0.793
S
11
Logan Sargeant
+ 1.075
S
12
Esteban Ocon
+ 1.154
S
13
Yuki Tsunoda
+ 1.192
S
14
Daniel Ricciardo
+ 1.240
S
15
Lando Norris
+ 1.344
M
16
Zhou Guanyu
+ 1.506
S
17
Valtteri Bottas
+ 1.605
S
18
Fernando Alonso
+ 1.928
H
19
Oscar Piastri
+ 2.508
S
20
Lance Stroll
+ 4.028
H
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