Red Bull arrive une nouvelle fois dans la peau du favori avant le Grand Prix de Hongrie après avoir remporté toutes les courses de la saison. Sur une série de 11 succès consécutifs, l’écurie autrichienne peut devenir ce week-end la seule équipe de l’histoire à avoir aligné 12 victoires d’affilée.
En 2022, George Russell avait signé la dernière pole position, à ce jour, de Mercedes en F1 alors que Max Verstappen avait remporté l’épreuve malgré un tête-à-queue dans le dernier secteur.
Découvrez le programme TV F1 du week-end en Hongrie, qui se disputera sous un format classique : EL1, EL2, EL3, Qualifications et Grand Prix.
À quelles heures se dérouleront les essais, les qualifications et le Grand Prix de Hongrie de F1 2023 ?
Les EL1 débuteront à 13h30 suivis par les EL2 à 17h00 pour une journée du vendredi qui sera à suivre sur la chaîne Canal+Sport.
La journée du samedi débutera à 12H30 avec les EL3 qui constituent comme toujours la dernière heure d’essais libres. Le premier temps fort du week-end commencera à 16H00, à savoir la séance de qualifications. À noter que dans le cadre d’un test, les écuries devront utiliser un composé de pneus spécifique lors de chaque partie des qualifications : Q1 en durs, Q2 en médiums et Q3 en tendres. La journée du samedi sera à nouveau à suivre sur Canal+Sport.
Enfin, les 20 pilotes s’aligneront sur la grille de départ du Hungaroring pour le Grand Prix de Hongrie à 15h00 ce dimanche, heure à laquelle Julien Fébreau donnera l’habituel rendez-vous au premier virage sur Canal+.
Toutes ces séances sont par ailleurs disponibles en direct sur la F1TV via l’abonnement F1TV Pro.
Sur quelles chaînes peut-on regarder le Grand Prix de Hongrie 2023 ? Le programme TV F1 :
Séance
Date
Horaire
Chaîne
EL1
Vendredi 21 juillet
13H10
Canal + Sport
EL2
Vendredi 21 juillet
16H40
Canal + Sport
EL3
Samedi 22 juillet
12H10
Canal + Sport
Qualifications
Samedi 22 juillet
15H40
Canal + Sport
La grille
Dimanche 23 juillet
13H55
Canal +
La course
Dimanche 23 juillet
15H00
Canal +
Formula One
Dimanche 23 juillet
16H55
Canal +
Ces horaires correspondent au début de la retransmission Canal+
Découvrez également ici le programme TV de la Formule 2 et de la Formule 3 qui accompagnent la F1 en Hongrie ce week-end.
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Après la dernière édition du Grand Prix de France en 2022 au Paul Ricard, plusieurs projets français ont manifesté leur intérêt pour accueillir la F1.
Le circuit Paul Ricard n’a ainsi pas caché son envie de revenir au calendrier, avec désormais Jean Alesi au poste de Président. La ville de Nice a également été citée comme candidate pour accueillir un Grand Prix urbain. Il y a quelques jours Emmanuel Macron avait par ailleurs soutenu le retour de cet événement international.
C’est désormais le circuit de Nevers Magny-Cours qui a fait savoir son intérêt après avoir déjà accueilli 18 Grand Prix de France de F1 entre 1991 et 2008.
L’Équipe révèle ainsi que le maire de la ville de Nevers, Denis Thuriot, va rencontrer Amélie Oudéa-Castéra, ministre des Sports, le 31 août prochain.
Un Grand Prix de France en alternance toujours envisagé
Même si le tracé nivernais n’a plus organisé de Grand Prix de Formule 1 depuis 15 ans, il n’en reste pas moins Grade 1 FIA, homologation indispensable pour recevoir la discipline reine du sport automobile.
Selon Denis Thuriot, avoir plusieurs projets de Grand Prix de France ne serait pas un frein à son retour.
“J’ai discuté avec Renaud Muselier (qui était impliqué dans l’organisation du Grand Prix au Paul Ricard, ndlr) qui serait d’accord pour que nos deux projets travaillent en alternance, ce qui limiterait pour chacune des régions le coût de l’organisation”, a affirmé le maire de Nevers, cité par L’Équipe.
Le journal quotidien précise par ailleurs que Thuriot souhaite aussi discuter avec le président de la République, Emmanuel Macron, avant de rencontrer la ministre des Sports.
Stefano Domenicali, le PDG de la F1, avait en effet annoncé il y a quelques semaines toujours via L’Équipe, qu’il attendait un interêt politique et notamment du Président français.
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En fin d’année dernière, l’annonce du dépassement du plafond budgétaire par l’écurie Red Bull en 2021 avait fait grand bruit. En effet, les sanctions (sept millions d’euros et réduction du temps en soufflerie) n’avaient pas forcément convaincu, certains estimant qu’elles étaient insuffisantes.
Malgré ces sanctions, force est de constater que Red Bull n’a pas été impactée cette saison. En effet, l’écurie autrichienne est invaincue depuis le début de l’année.
Moins d’un an plus tard, une nouvelle polémique semble rôder autour du paddock. La version italienne de Motorsport.com révèle ainsi ce mardi que “des rumeurs font état de doutes concernant trois équipes sur dix” au sujet du respect du budget cap 2022.
Stefano Domenicali, PDG de la F1, a par ailleurs exprimé son envie de voir des sanctions sportives infligées ainsi qu’une publication aussi tôt que possible des résultats de l’analyse budgétaire des équipes.
“J’aimerais que la sanction soit sportive en cas d’infraction, c’est quelque chose que nous avons demandé très clairement”, a indiqué Stefano Domenicali lors d’une interview avec Motorsport.com.
“Il y a trois règlements à respecter : sportif, technique et financier. Toute infraction doit être sanctionnée par des mesures sportives. On ne peut pas aller dans d’autres directions.”
“Le contrôle est entre les mains de la FIA. Personnellement, ce que j’ai demandé, c’est d’anticiper dès que possible la publication des enquêtes menées par le personnel de la FIA.”
“Mais je ne dis cela que parce que, de cette façon, cela ne donne pas lieu à des spéculations et à des commentaires qui ne sont bons pour personne.”
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Après avoir pris sa retraite l’année passée, Sebastian Vettel pourrait bientôt faire son retour dans les paddocks de F1 dans un rôle lié au développement durable. Même s’il a décidé de passer une année 2023 en étant “libre”, le quadruple champion du monde a confirmé qu’il avait rencontré le PDG de la F1 à Monaco, en mai dernier.
“Nous verrons, mais j’ai quelques idées”, a indiqué Vettel. “Je suis allé à Monaco en début d’année et j’ai eu une très bonne réunion avec Stefano [Domenicali]. Outre le fait que les voitures polluent directement, la F1 a une énorme responsabilité, car il s’agit d’un très grand événement.”
“Beaucoup de gens y assistent, je pense qu’il y avait environ 500 000 personnes au Grand Prix de Grande-Bretagne le week-end dernier (480 000 exactement, ndlr).Il y a donc beaucoup plus que les voitures, mais il est évident que tout le monde voit les voitures.”
“Et il est important que cela aille dans la bonne direction. Mais oui, je suis en discussion et j’ai quelques idées. Et bien sûr, nous verrons ce que l’avenir nous réserve.”
Vettel : “Tôt ou tard, je trouverai probablement le moyen de relever un nouveau défi”
Sebastian Vettel a par ailleurs confirmé qu’il avait reçu de nombreuses offres après sa retraite.
“Il y a beaucoup d’intérêts sous différents angles”, poursuit Vettel. “Mais l’année dernière, je me suis fixé comme objectif d’être libre.Et je dis non à beaucoup de choses en premier lieu, parce que je veux apprendre à connaître cette version de moi-même qui ne sait pas quoi faire, qui n’a pas, disons, d’emploi du temps fixe, et qui est capable de regarder différentes choses et de s’inspirer.”
“C’est toujours le chemin que je suis en train de parcourir. Je passe aussi beaucoup de temps avec mes enfants, nous avons aussi un peu voyagé, dans un van. C’est ce que j’apprécie.”
“Mais je sais aussi que je ne vivrai pas la vie de mes enfants. Ce ne sera pas ma tâche principale. Même si je veux être là pour eux. Mais tôt ou tard, je trouverai probablement le moyen de relever un nouveau défi”, a conclu Sebastian Vettel.
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Après un test Pirelli au volant de la Red Bull RB19 la semaine passée où il a impressionné le clan autrichien, Daniel Ricciardo va donc remplacer Nyck de Vries chez AlphaTauri jusqu’à la fin de la saison. Après l’annonce de ce retour surprise en F1, l’Australien s’est ainsi longuement confié lors d’une interview avec la F1.
“C’est bien, c’est vraiment bien !”, débute Ricciardo en abordant son retour. “J’ai apprécié cette période… Disons que c’était six mois de repos. Je pense que cela m’a fait beaucoup de bien. Mais plus je participais à des courses, plus je faisais du simulateur, plus le feeling revenait, pour ainsi dire.”
“En sautant dans la voiture il y a quelques jours [lors du test Pirelli avec Red Bull], je me suis dit : ‘Oh ouais !’, tout semblait très normal. C’était l’un de ces moments où, dès le premier tour, je me disais : ‘Oh, c’est rapide !’, puis, quelques instants plus tard, je me disais : ‘Ok, je veux aller plus vite maintenant !’, c’était vraiment bien.”
Daniel Ricciardo est également revenu sur le moment où Helmut Marko l’a appelé pour lui proposer de faire son retour en F1 chez AlphaTauri.
“Je me suis dit : ‘Ok, écoutons ce qu’il a à dire’. Je pense que c’est probablement la meilleure chose à faire, parce que parfois vous essayez de vous préparer, ‘Et s’il demande ceci ?’. Donc [je me suis dit], ‘Écoutons-le et voyons ce qui se passe’.”
“Je n’ai pas vraiment eu besoin d’y réfléchir. Je pense aussi qu’en revenant dans cette famille, je me sens tellement… Je dirais qu’il y a certainement une certaine familiarité, mais je me sens aussi chez moi, j’ai l’impression de tout revivre.”
“Il n’y avait aucun doute sur le fait que j’allais dire oui, c’était juste, je suppose, la réalité de ‘Ok, ça va arriver très bientôt’.”
“Le retour chez Red Bull et l’accueil que j’ai reçu en rentrant dans l’équipe ont été très positifs, mais aussi un peu bouleversants. Ensuite, en revenant dans le simulateur, j’étais encore un peu incertain de la façon dont cela allait se passer, si la voiture se comporterait comme avant, si j’allais être, à défaut de meilleurs mots, comme l’ancien moi.”
“Une fois que j’ai fait quelques séances de simulateur et que j’ai commencé à me sentir à nouveau moi-même, cela m’a ramené au Daniel normal, où je suis retombé amoureux et prêt à repartir.”
Même si Daniel Ricciardo a passé deux ans au volant d’une McLaren qui ne lui convenait pas, il ne s’inquiète pas de prendre le volant d’une des monoplaces les plus lentes du plateau actuellement.
“La voiture sera ce qu’elle est. Je vais la conduire et travailler à partir de là. Je ne veux pas avoir trop… d’idées préconçues.”
“Je suis conscient que la voiture aura ses limites. Je suis sûr que la voiture manque d’un peu d’appui et de choses comme ça, mais je pense que si elle est équilibrée – elle n’a peut-être pas autant d’adhérence que la Red Bull que j’ai pilotée il y a quelques jours – c’est quelque chose avec lequel je peux travailler.”
“J’ai hâte de la développer et de mettre à profit mon expérience. En fin de compte, je pense qu’à Budapest, il faudra juste s’amuser, essayer d’utiliser plus le pied droit que le pied gauche et prendre du bon temps !”
Une opportunité en or pour revenir chez Red Bull
Daniel Ricciardo est par ailleurs conscient que son retour au sein de l’écurie basée à Faenza pourrait être un tremplin pour un retour encore plus incroyable, aux côtés de Max Verstappen chez Red Bull.
“C’est pourquoi je me sens un peu comme à l’époque où je gravissais les échelons, au sein de la famille Red Bull. C’était ça, ‘Si tu obtiens des résultats, nous continuerons à te pousser’. C’est vraiment l’état d’esprit qui règne.”
“Je connais l’équipe… Il a été difficile d’obtenir une place dans les points cette année, alors pousser cette voiture et essayer de la faire entrer dans le top 10, je pense que cela rendrait tout le monde très heureux et excité”, a conclu Daniel Ricciardo.
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