Le minimum syndical
Pour la seconde année de l’ère de la nouvelle réglementation technique et sportive entrée en jeu en 2022, Ferrari se doit impérativement de remporter des GP de manière régulière et de truster l’une des deux premières places au championnat constructeurs au terme de la saison. Un objectif qui n’est déjà pas une mince affaire : les Rouges ne peuvent se permettre de voir Mercedes reprendre la main, ni de voir l’écart avec Red Bull Racing s’étendre encore plus que lors de la saison 2022.
L’espoir inavouable
Frédéric Vasseur a beau tout juste mettre les pieds au sein de l’équipe transalpine, le nouveau Directeur d’Equipe français sait que l’objectif de toute saison doit être la collecte de l’un ou l’autre des titres mondiaux lorsque l’on est Ferrari. La dernière couronne pilotes remonte à celle de Kimi Räikkönen, en 2007, tandis que le dernier titre constructeurs est celui de 2008.
Vers le futur
Disposer d’une monoplace supérieure en début de saison, c’est ce que Ferrari a eu l’an dernier. Maranello se rassurerait sans doute plus en partant plutôt derrière et se montrant capable de maintenir un cycle de développement et de gain de performance par rapport à ses concurrents directs au cours de l’année. Il faudra aussi sécuriser l’avenir à moyen-long terme en verrouillant le volant de Charles Leclerc au-delà de son contrat se terminant au terme de la saison 2024.